Engagement mineur au sud de Torremejia : Espagne 1936, Force on Force
( Sorry for the pics : poor quality.. not enough light ! – désolé pour la qualité des photos : pas assez de lumière..)
Voici (enfin ?!) la suite de notre campagne ESPAGNE 1936
Les troupes nationalistes progressent vers le Nord ( apparemment..). Le colonel Asension (Luc) a décidé d’envoyer une reco sur la route.. où la communauté autonome anarchiste de Damien a décidé de le ralentir ( voire de le stopper, mais il est conscient que ce sera difficile dans l’état actuel).
Les 3 joueurs ( Ludo y joue le camp républicain ) ont chaque tour de jeu un QCM, où ils ne peuvent choisir que 3 propositions, dans un ordre de priorité ( de 1 = important, je VEUX le faire, à 3 = si je peux faire ça aussi..)
L’arbitre (votre serviteur) en tire les conséquences et possibilités. Et les OB des combats possibles. Et tire également les conséquences des combats joués ! 😉 Nous utilisons la règle Force on Force pour les combats.
Les figurines sont des PENDRAKEN en 10mm. Soclées à l’unité. Mais ddans ces règles, on joue par groupe de figurines.
Les nationalistes sont des troupes régulières (ce qui est TRÈS important dans ce jeu !) et sont équipées de manière standard (pour l’époque). Luc n’a engagé ici que de l’infanterie.
Les miliciens anarchistes de Damien sont IRRÉGULIERS, et à ce titre bien moins formés à âge / réagir ! Toutefois sa première ligne est constituée de soldats très motivés. Ce qui n’est pas le cas des renforts qui arriveront, majoritairement composés des villageois..
Dans ce scénario, les miliciens utilisent le placement initial caché. Leurs renforts arrivent par des « hot spots », mais sont en nombre fini ! il n’y aura pas de vagues incessantes, nous sommes près d’un petit bourg.
On distingue la vieille chapelle qui verra les âpres combats..
Voilà, les deux joueurs ont pû renouer avec les règles de Force on Force. Un seul évènement ( Fog of war) est survenu, sans impact vraiment significatif. Les armements de cette époque sont bien moins efficaces qu’en contemporain, et les escouades sont un peu plus grosses. Il est assez difficile de les scinder sans perdre de la puissance de feu. Pour les irréguliers, le manque criant de leaders a été un handicap, que leur fort moral a partiellement atténué.
Je pense que nos deux joueurs se sont amusés, mais il est certain qu’un scénario en mode campagne fait réagir autrement que sur des jeux One Shots ! ( Libre à vous de commenter cet article messieurs !)
à bientôt pour la suite..
Luc:
J’adore les deux clochers de verre au fond derrière l’église.
18 novembre 2012, 10:52 pmLuc:
J’ai effectivement été à deux doigts de craquer et de faire retraite. Mes trois squads avaient pris des pertes et la puissance de feu ennemie semblait importante.
Les anarchistes s’étaient réfugiés dans l’église, formant une masse de combattants impressionnante, capable d’atteindre pratiquement n’importe quelle position.
En fait, si j’avais pu prendre un chemin m’assurant une retraite certes honteuse mais totalement sécurisée, je l’aurais sans doute emprunté.
Ceci n’étant pas possible, j’ai décidé de reprendre le dessus, et de passer à l’offensive, juste au moment où mon adversaire a commencé à bouger de ses positions.
Partie très sympa et adversaire fair play
18 novembre 2012, 10:56 pmDamien:
Cette partie a failli basculer sur un coup de bluff ! Amasser un tas de villageois dans l’église pour faire peser une menace (inexistante vu leur niveau de qualité) sur les troupes nationalistes. Au finale, une partie très sympa avec un groupe près du hot spot 1 qui mériterai de passer élite.
19 novembre 2012, 9:26 amronanr:
En tout cas vous avez bien joué ! bravo messieurs !
19 novembre 2012, 8:04 pm